Les déclarations d’impôts sont des obligations qui incombent à chacun. Pour bénéficier d’une rapidité d’exécution des tâches relatives à cette démarche, ci-après quelques conseils pratiques sur les déclarations de revenus liées à la location immobilière entre particuliers.
Deux options aux choix selon vos préférences
Lorsqu’il s’agit de location immobilière entre particuliers, le domaine est largement étendu. On peut aisément parler d’appartement comme de camping car, par exemple.
Les deux procédés ne sont pas assujettis à une quelconque forme de règlementation ou de règle fiscale bien précise dans la Loi des Finances mais, doivent pourtant s’acquitter obligatoirement de leurs impôts relatifs à leurs revenus annuels. Ces déclarations s’enregistrent automatiquement dans la catégorie des « Bénéfices industriels et Commerciaux » selon les termes employés par les centres d’impôts.
Aussi, chaque déclarant a le choix entre utiliser le régime Micro-BIC et le régime réel simplifié. Chaque démarche présente ses avantages comme ses inconvénients. Tout dépend réellement des appréciations de chaque contribuable ainsi que de ses prédispositions personnelles face aux circonstances. Toutefois, pour comprendre les enjeux, voici un bref résumé des points essentiels.
Déclarer ses revenus sous le régime Micro-BIC
Déjà, un seuil de revenus annuels estimés à 32.900 euros reste en vigueur pour profiter du régime Micro-BIC. Ce seuil doit correspondre avec la rémunération perçue par chaque type de location du contribuable, à savoir un appartement meublé, un camping-car ou encore un garage.
Pour le calcul, on retiendra les recettes annuelles diminuées d’un taux forfaitaire de 50%, lequel correspond à son tour à toutes les charges relatives au bien. Ajouté aux autres revenus déclarés puis soumis à un barème progressif de l’impôt sur le revenu, ce résultat sera après. Pour plus d’infos à ce sujet, il est recommandé de visiter le portail web d’un centre d’impôt.
Payer ses impôts sous le régime réel simplifié
Sont concernés par ce type de régime, les contribuables disposant d’une recette annuelle comprise entre 32.900 euros et 234.000 euros. La procédure devient même obligatoire pour toutes ces personnes.
Le calcul du bénéfice taxable pour une location immobilière entre particuliers se fera donc à partir de la différence entre les recettes (rémunérations perçues des locations) et des amortissements ainsi que des charges déductibles, dont la liste reste toujours non-exhaustive.
Ce sont des moyens précis pouvant simplifier la déclaration de revenu de tout un chacun. Ce sont déjà des guides indispensables pour commencer. Toutefois, pour plus d’explications à ce sujet, mieux vaut faire appel aux éclaircissements d’un expert en la matière.